i have no story to be told; tyler.

YANG TYLER;
featuring. yoon dujun.

i have no story to be told; tyler. Scxlj5

âge : 21 ans.
date &lieu de naissance : 14 novembre 1990; Chicago, USA.
nationalité : américano-coréenne.
orientation sexuelle : hétérosexuelle.
comment voyez-vous votre avenir ?. : gorgé de gloire.
filière / métier : quatrième année de commerce; finance et marchés.
signe(s) particulier(s) : "love is not a sin", tatoué sur son pectoral gauche ; fume en toutes - ou quasi - circonstances, d'où son ineffaçable habitude à emmener sa main à sa bouche. il porte des lentilles de contact.
groupe : ceteris.
poste vacant ? non.

THIS IS WHO I AM;

« Tout a ses merveilles, l’obscurité et le silence aussi. »

Si la vie était une chimère, s’évaporerait-elle si j’essayais de l’attraper ? Acteur ou Observateur, je ne sais pas, je ne sais plus. J’essaye sans cesse de me prendre en main, mais je finis par faillir, toujours. Poussé vers une fatalité sur laquelle je n’ai aucune emprise … Je coule.

Face à son jumeau, Tyler ne s’est jamais vu comme autre chose que « l’alter ego », qui n’aurait sans doute pas lieu d’être si lui n’existait pas. Un amour inconditionnel auquel il n’accordait aucune limite, voilà ce que ressentait le petit garçon à l’égard de son frère. Dominé par une envie de lui faire plaisir, d’être « son meilleur ami ». Tout était parfait, vraiment parfait. Jusqu’à ce qu’arrivent l’école et les bonnes notes. « Tyler, tu es un garçon si intelligent ! », « Continue comme ça, c’est très bien ! » Jamais personne ne tarissaient les éloges à son égard. Au départ, il en était heureux. Qui ne le serait pas après tant d’honneurs et de félicitations ! Mais très vite, Tyler comprit quels étaient les revers de son savoir. Cela commençait avec la personne qu’il aimait le plus, Ezeckiel, son frère. Mis en avant par ses parents, un lent et profond favoritisme s’installait dans leur cœur, au point qu’une certaine jalousie naisse entre les deux frères, brisant petit à petit leur lien si fort et unique. Et Tyler, qui ne s’en était contenté que trop, fut bien obligé de faire face à la cruauté des enfants à laquelle il n’avait jamais réellement porté attention. « Waah, regardez le moi, ce serpent à lunettes ! » Des moqueries, toujours des moqueries. La solitude de Tyler ne connaissait pas de fin. Tout le temps le dernier choisi pour les jeux, jamais invité nulle part, juste reconnu lorsqu’il s’agissait de passer les devoirs. Tyler n’était pas timide, mais contre tous ses gens qui lui reprochaient son intelligence, il ne pouvait rien faire. Alors le petit garçon tenait bon, grandissait. Caché derrière ses lunettes et un style vestimentaire loin d’être ringard mais montrant qu’il n’avait personne à qui plaire, le jeune garçon se contente très bien de sa solitude. Mais au bout d’un an passé au collège, face à son miroir, Tyler comprit qu’il pouvait changer. Qu’il ne voulait pas rester comme ça. Cantonné à cette image d’intello sympa, mais pas assez pour intégrer une bande d’amis. A vrai dire, Tyler voudrait être comme Ezeckiel ; lui qui arrivait étrangement à être impénétrable, tout en ne manquant pas d'être entouré. La vérité, c’est que Tyler ne voulait plus de ça. Ne voulait plus n’être que le cerveau, le prodige.

Cela ne fut pas si difficile au bout du compte, de changer. Malin, observateur. Tyler cernait les caractères, les attitudes. Ce qui était « cool », et ce qui ne l’était pas. Alors il refit sa garde-robe, troqua ses lunettes contre des lentilles de contact. Il n’aurait jamais pensé qu’un peu de style pouvait le changer à ce point. Et après, cela vint tout seul, bien évidemment. Nouvelle tête, nouveaux amis. Tyler n’avait pas besoin d'avoir peur : personne n’avait pris la peine de le connaître avant. Et toutes ces nouvelles personnes qui s’agglutinaient autour de lui le gorgeaient d’un immense sentiment de satisfaction. Celui d’avoir concrétisé quelque chose, de pouvoir enfin laisser sa personnalité éclater au grand jour. Il n’avait plus à craindre la réaction des autres et à mesurer ses paroles, on le considérait comme un égal. Son intelligence n’était plus une tare, mais une qualité ajoutée à sa beauté. Les années passaient, Tyler s’affirmait. Il avait des gens à qui parler, quand bien même ceux-ci ne trainaient avec lui que par intérêt. Comme beaucoup, il se mit à fumer pour suivre la masse, s’intégrer au groupe. Au début ça lui faisait bizarre, mais très vite, il s’en accoutuma. La fumée qui gorgeait ses poumons était une nouvelle liberté qui s’offrait à lui. Puis vint une période où Tyler se complut dans la violence. Ecraser son poing contre la mâchoire des uns et des autres le libérait de toute cette rancune qu’il avait gardée en lui pendant si longtemps. Tyler en voulait au monde entier. Il ne pouvait pas se passer d’attention, mais paradoxalement, il aurait aimé leur faire regretter à tous de l’avoir repoussé de la sorte. A l’adolescence, Tyler découvrit des défauts qui ne le lâcheraient pas : l’impulsivité, la jalousie, la possessivité. Un égoïsme teinté d’égocentrisme. Dans un univers où régnait la loi du plus fort – ou du plus influent en tous les cas – Tyler apprit à toujours mettre en avant ses propres intérêts. Malgré toutes les personnes qui l’entouraient, Tyler ne faisait confiance à personne. Avec le temps, il comprenait que tous avaient une idée derrière la tête, que rien n’était fait « au hasard ». Alors pourquoi ne pas agir comme eux, histoire de ne pas être le couillon de service ? Et puis de toute manière, le jeune homme avait toujours obéit à la loi du « on n’est toujours mieux servi que par soi-même. » Pendant tout ce temps, il n’y avait qu’une personne qu’il n’avait pas remise en doute : Ezeckiel. Au final, peut-être était-il le seul qui le traitait à sa juste valeur … Simplement comme son frère. Tyler aimait ses parents, mais il savait bien qu’au fond, ils le lui rendaient bien juste parce qu’il était bon en cours, qu’il avait de la personnalité et qu’il plaisait à tout le monde. Il n’y avait qu’à regarder son jumeau qui avait le droit à bien moins d’attention juste parce qu’il n’était pas aussi « réussi » que lui. Tyler n’arrivait pas à se mettre à sa place, mais en même temps, il se considérait comme le mieux placé pour le comprendre, lui, sa moitié. Alors quand son frère décida de s’émanciper des parents en allant s’expatrier vers la Corée du Sud, Tyler ne tarda pas à le suivre, quelques années plus tard. Suivre son jumeau et découvrir ses racines semblait être un motif suffisant pour ses parents, mais très vite, le garçon en vint presque à regretter son choix. Comment se contenter d’un tel pays après avoir vécu The American Dream ? Tyler ne se sentait pas chez lui dans un bled aussi rempli de convenances. Les gens étaient gentils, bien trop. Il ne voulait pas avoir à s’adapter à un nouvel univers, pourquoi ne pouvait-il pas s’adapter à lui ? A son arrivée, il avait plutôt tendance à traîner avec les « mauvaises fréquentations », elles seules n’étant pas trop coincées dans cette façon de vivre asiatique qui avait tendance à exaspérer Tyler plutôt que de l’émerveiller de par sa nouveauté. Mais au final, il ne s’entendait pas si bien que cela avec ces gens-là. Peut-être un peu trop bizarres pour lui. Cela dit … Il n’eut cette fois-ci pas le temps de retomber dans la solitude. Hasard ou Destinée, impossible de le dire, mais lorsqu’Alexeï fut mis sur sa route, Tyler ne parvint plus à s’en passer. Ce nouvel ami qui ne tarda pas à devenir le pilier d’un univers tout entier. Mais ça, c’est une autre histoire, n’est-ce pas ?

Quoiqu’il en soit, les années passent, et Tyler intègre l’une des branches les plus compliquées de la Seoul National University, et ne cesse de prouver à quel point ses capacités sont indiscutables. Très vite, de par son nom et ses résultats, il se fait remarquer par Relicta Spe Saeculi, qui ne manque pas d’accueillir comme il se doit le nouveau venu. Il est surpris d’abord, et ne comprend pas qu’on puisse se fatiguer à déranger les gens dans leur train-train quotidien. Mais quand vient son tour, il finit par trouver ça assez drôle. Ce n’est pas bien méchant de faire une ou deux petites blagues de temps à autres non ? C’est une occupation, et Tyler ne s’en sent pas plus coupable que cela. Tant que les gens auxquels il tient un tant soit peu ne subissent pas trop de casse, il s’en fiche. Quand certains sentent la caresse de ses poings, d’autres subissent l’ardeur de son amour. Tyler n’a au final aucune demi-mesure, se laisse parfois trop dicter par ses sentiments et émotions, mais tant pis. Il vit bien comme ça, et il ne veut surtout pas changer.

RÔLE-PLAYER;

pseudo : nomino.
âge : 17 ans.
comment avez-vous connu le forum ? d'après toi mon pitit.
code : validé par mon supremissime arrière-train.
fréquence de connexion : 7j/7.
commentaires : je vous aime, un peu, beaucoup, passionnément. ♥

even when you're not around, I call your name like a habit.

faisons de notre tyxeï une merveilleuse histoire, taypeut'. ♥ (et faudra qu'on finisse nos fiches.) jetaime.

if it's not you, i can't go on.

oui, triste et merveilleuse, quel paradoxe ;-; (j'vais m'y mettre à ma fiche, oui oui ... ) jet'aimeaussi. ♥

PERVERS

Merci ...
COCHONNE.

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» this is why i wanna die. ● tyler.
» ★ tyler; make me immortal with a kiss.
» yang tyler; du 30 janvier au 2 février.

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