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 i'm like a lawyer with the way i'm always trying to get you off • yangtyler

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Lim Ji Hyeon
hey ! i'm Lim Ji Hyeon

Messages : 97
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Secta ? : non.
Filière &année : Littérature 3 année
Situation amoureuse : I can not cry, I can no longer hope. nothing will change and he never looked at me. The unrequited love is a fact. I'm doomed to love unanswered. and die without love.
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MessageSujet: i'm like a lawyer with the way i'm always trying to get you off • yangtyler   i'm like a lawyer with the way i'm always trying to get you off • yangtyler EmptyDim 22 Jan - 23:39

i'm like a lawyer with the way i'm always trying to get you off • yangtyler Gd3 i'm like a lawyer with the way i'm always trying to get you off • yangtyler 1-3

♫ Ooh...Verbal vomit...I keep one on it Not the scroll but you can call me ebonics Sideshows going nutty dumbing out Take the wrong turn and get your roof stomped out Old school vans doors open, me and my coupe And some stoners we get high like Shaggy from Scooby Doo. ♪


Accélérant le mouvement circulaire qu‘elle effectuait avec ses hanches, rejetant sa tête en arrière tout en portant les mains à sa poitrine, les glissant le long de ses hanches pour venir les insinuer entre ses jambes, les calant sur ses cuisses. Ses cheveux blonds fouettant l’air avec sensualité tandis qu’elle suait, la jeune coréenne s’humecta délicatement les lèvres tout en rouvrant les yeux afin de croiser le regard passionnée de son reflet. Un baggy dévoilant une partie du sous vêtement de la jeune asiatique, associé à une simple brassière, un ensemble tout à fait différent de ceux qu’elle portait habituellement mais tellement agréable lorsqu’elle venait s’entraîner dans l’une des salles de danse de la SNU. La breakdance (ou break dance, break, b-boying) est un style de danse développé à New York dans les années 1970, caractérisé par son aspect acrobatique et ses figures au sol. Un danseur de breakdance est appelé breaker, breakdancer, B-Boy ou encore B-Girl s'il s'agit d'une femme. Un mélange de break et de hiphop, et le tour était joué. Cette jeune étudiante de lettre n’avait pourtant rien d’une danseuse expérimentée au premier abords, d’ailleurs son style vestimentaire, son attitude, son visage si docile. Rien vraiment rien ne pouvait laisser envisager qu’elle dansait le break. Treize ans qu’elle dansait, jour et nuit. Le fils de sa mère adoptive l’avait initié à la danse, l’avait mise en confiance , avait trouvé le moyen de l’ouvrir à autrui sans pour autant se dévoiler entièrement. A vrai dire jihyeon ne se souvenait de rien concernant sa vie avant son arrivée à l’épicerie de minyoung sa mère adoptive. Un élastique rouge orné d’une fraise et la promesse d’un retour était ses seuls souvenirs. Combien de temps elle avait erré dans les rues de Seoul, pleurant son père disparus , elle n’en savait rien. La danse avait été sa seule sortie de secours, taemin lui avait tout enseigné du moins tout ce qu’il savait, l’insérant au sein de son crew. Mais elle était redescendu sur terre, son avenir ne pouvait tout bonnement pas être basé sur la danse en elle-même, et ceux même si elle était son unique raison de persévérer dans la vie. Les soucis d’argents était parvenus rapidement pour sa mère adoptive, deux bouches à nourrir sans compter celle de cette jeune mère et tout cela avec le pauvre revenue d’une épicerie ? Jihyeon avait tout d’abord aidé tae lors de transfert, du « mimi », à l’époque elle ne savait pas réellement ce que c’était, elle se devait juste de déposer les sachets dans les boîtes aux lettres de divers clients et y récupérer une autre enveloppe qui contenait de l’argent. Mais le marché de son frère par défaut c’était vite arrêté lors d’une descente. Visiblement la détention de substance illicite et la vente de celle-ci était interdite. N’ayant alors que douze ans , la jeune fille avait été acquitté tandis que son frère écopait d’une dizaine d’année de détention pour trafic de drogue.

Augmentant le son de la chaîne hifi, la jeune coréenne changea le morceau actuel pour un son plus neuf. Tendant son bras vers son sac de sport, elle y saisissait une casquette qu’elle posa délicatement sur sa tête tout en riant, seule. Un rire relativement ironique, à tendance sadique. Rien de bien effrayant, elle se remémorait juste la tête ennuyé qu’avait adopté son ex petit ami quand il l’avait quitté. Pas assez caractérielle, trop soumise, trop enfantine et inintéressante. C’est tout ce qu’elle avait compris en un regard. Cela l’avait beaucoup blessé, au début, seulement au début. Un sentiment de vengeance avait émergé au fond d’elle, un sentiment malsain et en un claquement de doigt la jeune femme avait laissé ressortir toute sa facette jusque là inconnu d’autrui. Inconnu de ceux qui n’avaient jamais réellement cherché à la connaître. Ses cheveux anciennement bruns avaient été teints en blond, réduisant ses heures de travails jihyeon s’autorisait à sortir plus souvent en discothèque et n’hésitait plus à montrer ses talents à autrui mais le plus intéressant c’est qu’elle avait gagné en confiance devenant ainsi l’objet de la convoitise de plusieurs hommes. Hommes qu’elle ne regardait guère. Jihyeon n’était pas une femme facile et n’enchainait guère les relations. Elle avait besoin de se sentir désiré et avant tout d’être relativement attiré par son partenaire, dans tout les sens du terme soit autant physiquement qu’intellectuellement. Effectuant un freeze, elle enchaina sur des pass-pass, le sourire aux lèvres examinant en même temps la concordance de ses pas avec le rythme de la musique.

« vous êtes en avance pour le cours des master mademoiselle mais je vois que votre niveau est parfait depuis quand vous entrainez-vous? »

Sursautant, la jeune étudiante attrapa vivement son sac avant de s’éponger le visage avec sa serviette. Il ne s’agissait pas réellement d’avoir honte mais plutôt d’ennui, elle était ennuyée de devoir quitter la salle de danse pour la laisser à des élèves quelconques. « excusez moi, je ne fais pas partis de ce cours, je dois y aller. » D’un pas assuré, elle quitta la salle tout en soufflant d’exaspération. Il n’était pas tard, elle n’avait plus cours et ne travaillait pas aujourd’hui. L’envie d’étudier n’était pas présente loin de là, c’est donc en trainant des pieds qu’elle se dirigea vers les vestiaires tout en songeant à ce qu’elle allait faire après s’être douché. Jihyeon aurait aimé rendre visite à taemin, cela faisait un an qu’elle ne l’avait pas vu à défaut d’avoir le temps de le faire cependant elle ne possédait aucun véhicule pour s’y rendre et le bus était bien trop cher. Poussant la porte du vestiaire, elle posa son sac contre l’un des casiers avant de laisser glisser son baggy au sol. Si il y avait bien quelque chose qu’elle ne craignait pas c’était qu’une fille la voit nue. La jeune femme n’était pas pudique, après tout, nombreux était ceux qui venait se doucher dans les vestiaires du gymnase et se déshabiller dans la cabine de douche était plus complexe qu’autre chose. Retirant ses sous-vêtements, jihyeon bailla légèrement tout en se frottant les yeux. Dormir, voilà ce qu’elle allait faire. Portant sa main, à la porte de l’une des cabines de douche, elle s’assura dans un premier temps que la douche ne soit pas enclenché. Pas que ces douches soient mal foutues mais si , elles ne fermaient pas à clés, aucunes. Ouvrant la porte de la cabine, elle s’inséra délicatement dans celle-ci tout en détachant sa chevelure les yeux clos. La jeune Lim fermait souvent les yeux lorsqu’elle faisait quelque chose de simple et qu’elle était légèrement fatigué, cela n’avait donc rien d’étrange. Guidant ses mains vers la paume de douche, la jeune femme percuta quelque chose du bout des doigts. Quelque chose de mouillé, quelque chose relativement dur et chaud. Entrouvrant les yeux, persuadé qu’elle paranoïait de nouveau, elle lâcha un hoquet de surprise tandis que ses yeux détaillait le corps nu du jeune homme qui lui faisait face. S’arrêtant sur l’entre jambe du jeune homme, elle sursauta soudainement avant de croiser le regard de l’inconnu. « p-p-p-p pardon.. ». En deux temps trois mouvement , la jeune asiatique quitta la cabine saisissant sa serviette qu’elle enroula autour de son corps, la bouche toujours entrouverte, une main plaquée dessus. Là il s’agissait de honte, de gêne, de malaise. Ce n’était pas comme si l’inconnu en question était relativement bien monté, relativement beau, relativement attrayant non bien sûr. En fait si. D’ailleurs, elle l’avait déjà vu quelque part enfin pour ce qu’elle venait de voir, elle ne pouvait pas dire que ce qu’elle avait aperçu allait lui permettre de le reconnaitre mais. C’était pas le moment de chercher à savoir qui c’était, mais plutôt de partir. « merde. J’suis trop conne putain. ».


Dernière édition par Lim Ji Hyeon le Lun 30 Jan - 9:35, édité 1 fois
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Yang Tyler
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MessageSujet: Re: i'm like a lawyer with the way i'm always trying to get you off • yangtyler   i'm like a lawyer with the way i'm always trying to get you off • yangtyler EmptyDim 29 Jan - 12:49

« En 2008, l’Europe n’a fait que payer la crise des subprimes américaines, c’est-à-dire des mauvais crédits qui ne peuvent pas être remboursés. Ces mauvais crédits ont un effet multiplicateur qui retombe sur les banques, ce qui fait que les banques se retrouvent à cours de liquidités. Elles se méfient les unes des autres, elles ne se prêtent pas les unes les autres, donc elles contractent les crédits, d’où ce qu’il s’est passé aux Etats-Unis : une chute de l’immobilier, une chute de la construction immobilière, une baisse de la consommation, ce qui était d’ailleurs prévu aux Etats-Unis depuis des années. Et, petit à petit, ça se répercute sur la valeur des banques elles-mêmes. C’est-à-dire qu’on commence à se rendre compte que ces banques ont plein de créances qui ne valent rien. Donc les actifs diminuent, et comme la valeur des banques a elle aussi diminué, la bourse chute. Et puis on a un effet de dominos : la chute des valeurs bancaires peut causer la chute d’autres valeurs, quelles qu’elles soient. »

Tyler faisait des allers et venues dans la petite salle de cours, une télécommande à la main pour faire passer ses différentes diapos. Face à d’autres étudiants, et à son professeur lui-même, le jeune homme expliquait avec aisance les causes et conséquences de la crise économique de 2008, prouvant sans cesse que l’économie et la finance n’avaient pour lui aucun secret. Avec ses grands gestes, sa voix forte et assurée, il avait déjà tout d’un futur excellent homme d’affaires. Tout comme son père avant lui, il finirait sans doute par devenir un gourou de la finance, ce genre de génie capable de transformer en or tout ce qui était à sa portée. Riche déjà, il le serait certainement encore plus. Mais Tyler ne pensait pas vraiment à tout cela. Pour lui, il n’y avait rien de compliqué à expliquer simplement quelque chose d’incompréhensible. Les mots et les chiffres s’alignaient dans son esprit de manière automatique, comme si les informations avaient toujours été inscrites dans son cerveau. Tout coulait de source, et son esprit critique n’avait sans doute aucune limite. Sa présentation dura encore une bonne heure, pendant laquelle il parla de titrisation et de bien d’autres choses assez complexes. La sonnerie marquant la fin des cours sonna aussi la fin de son long exposé, qui lui valut les applaudissements de ses camarades et les félicitations d’un professeur qui lui accorda une poignée de main. Tyler afficha un fin sourire, reflet de la satisfaction qui emplissait son cœur. L’américain aimait voir son égo être flatté, sentir qu’il était le meilleur. C’était assez paradoxal comme ressenti, surtout lorsque l’on savait que le jeune homme était parfois extenué par toutes les attentes que tous avaient pour lui. Tyler aimerait dire qu’il n’aimait pas qu’on lui dicte ce qu’il avait à faire, pourtant, il ne parvenait pas à penser autrement que tous ces gens qui lui faisaient confiance. Il s’était fait à l’idée de devenir ce qu’ils voulaient qu’il soit, et au bout du compte, Tyler ne se souvenait plus de ce qu’il avait pu avoir un jour désiré. Il ne savait plus si un jour, il avait voulu être astronaute, avocat ou pompier. Prendre la suite de son père, être encore meilleur que lui, faire encore plus d’argent, … Tout cela lui était tout bonnement normal, et l’américain ne se voyait pas un autre avenir. De toute manière, il n’allait pas se plaindre : ce n’était pas comme s’il allait se retrouver à la rue à la fin de ses études, comme s’il ne savait pas où il allait et ce qu’il était en train de faire de sa vie. Son chemin était déjà tracé, sa place déjà réservée. Il n’aurait aucun effort à fournir pour parvenir au sommet, puisque, en quelques sortes, il y était déjà. Cela le rendait-il seulement heureux ? Tyler se plaisait à croire que oui ; il ne mesurait qu’à peine la chance qu’il avait, les caprices n’ayant pas eu lieu d’être dans son enfance, ses souhaits étant exaucés avant même qu’il ait le temps de dire « ouf ».

Après avoir rangé ses affaires, Tyler quitta la salle de classe et fuit directement vers le terrain de football. Après avoir parlé pendant autant de temps sans s’arrêter, il avait besoin de se vider le cerveau, la migraine pointant déjà le bout de son nez. Monopoliser autant d’informations aussi longtemps, cela avait certaines conséquences, et pas forcément très agréables, malheureusement. Dans les vestiaires, il enfila rapidement une tenue et des crampons, avant d’aller sur le terrain et de dribbler dans le vide, seul. Il utilisait le mur des vestiaires comme adversaires, et jouait son match dans sa tête, comme un petit garçon inventant toute une histoire à ses petits bonshommes de plomb. Il se sentait bien là, sans présence extérieure pour le perturber, en tête à tête avec son cher ballon rond. Pourtant, il ne resta pas sur le terrain pendant des heures. Sa journée l’avait extenué, il n’avait donc pas l’énergie nécessaire pour endurer encore un énième marathon d’un nouveau genre. Epongeant son visage avec son bras, il retourna à l’intérieur des vestiaires avant de s’étirer longuement, poussant un long soupir de fatigue. Son lit dansait déjà dans son esprit, lui quémandant de passer quelques heures en sa compagnie, invitation que Tyler acceptait volontiers. Il se déshabilla lentement, avec des gestes emplis de paresse, et ne tarda pas à aller sous la douche. Il soupira de plaisir lorsque l’eau chaude entra en contact avec son corps, détendant les muscles de ses épaules. Il passa ses mains derrière sa nuque douloureuse, se massant légèrement, avant de se savonner avec vigueur, comme s’il essayait d’extirper toute la fatigue de son corps. Il se rinça et ferma l’arrivée d’eau, puis posa son front contre les carreaux glacés de la douche, fermant les yeux. La fraicheur soulagea son mal de tête, mais avant qu’il ne puisse penser à autre chose, il sentit quelque chose se poser sur sa côte. Tiède, doux. Une main ? A peine eut-il le temps d’entrouvrir les yeux qu’il entendit une exclamation de surprise, qui le força à tourner directement la tête vers l’opportun qui avait osé le déranger. Oh, une fille. Tyler arqua un sourcil lorsque celle-ci accorda un peu trop d’attention à son entre-jambe, un sourire fleurissant sur ses lèvres alors qu’elle relevait enfin son regard. Pour quelqu’un avec aussi peu de pudeur que Tyler, la gêne de cette jeune femme avait quelque chose d’assez drôle et de peut-être mignon. Cependant, il n’eut pas le temps d’ajouter quelque chose que déjà elle s’enfuyait, l’américain ayant à peine le temps de jeter un coup d’œil à ses fesses, à son grand désarroi. Aussitôt, il sortit à son tour de la douche, passant une main dans ses cheveux pour ramener en arrière les mèches mouillées qui voilaient son regard, et partit à la suite de cette fille mystérieuse. Il roulait des hanches pour ne pas glisser et se casser la figure, n’ayant pas envie de se retrouver avec le nez cassé et ainsi avoir l’air on ne peut plus ridicule. « Eh ! » Lorsqu’il retrouva la brunette, il oublia sa résolution et accéléra lorsqu’il fut sur le point de l’attraper et … tomba. Comme Tyler l’avait redouté, il n’avait pas pu résister à la force colossale d’une fichu flaque dos, tombant de tout son poids sur la petite intrigante, ayant à peine le temps de passer sa main derrière sa nuque pour qu’elle ne se fasse pas trop mal en tombant. Le jeune homme se redressa un peu alors, et laissa échapper un petit rire en constatant que sa tête était tombée au niveau de sa poitrine. Cette pauvre fille n’en avait pas fini avec lui, malheureusement – ou heureusement ! - pour elle. Tyler remonta alors au niveau de son visage, la pointe de son nez frôlant à peine le sien, son sourire toujours présent. « Généralement, ma nudité ne fait pas peur aux demoiselles. Aurais-tu eu peur de la bête ? » Il rit, se trouvant totalement débile. Puis, il ancra son regard dans le sien, redevenant sérieux, et détailla les traits de son visage. Elle avait de jolis traits, fins. Tyler prenait rarement la peine d’accorder ce qualificatif aux inconnues, mais elle était indéniablement belle. « Tu es en serviette, je suis nu. Je suis un garçon. D’après toi, est-ce que … » Il glissa ses lèvres le long de sa joue, les amenant à son oreille, et parla d’une voix bien plus basse. « … je compte te faire quelque chose ?» Tyler n’avait en vérité aucune mauvaise intention et n’était pas du genre à profiter de la faiblesse féminine … Mais, on ne sait jamais, après tout. Avoir une affaire avec une belle inconnue, n’était-ce pas d’un grand romantisme ?
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Lim Ji Hyeon
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MessageSujet: Re: i'm like a lawyer with the way i'm always trying to get you off • yangtyler   i'm like a lawyer with the way i'm always trying to get you off • yangtyler EmptyLun 30 Jan - 1:09

Pour certaines personnes amour et soi même riment avec deux , pour jihyeon cela rimait plutôt avec cent, mille voir un million. Elle n’était pas faite pour les relations amoureuses. Oui quelque chose clochait chez elle , légèrement beaucoup même. Oh ce n’était pas une histoire de vouloir ou de pouvoir mais plutôt d’être incapable en son fond tout en pouvant. Oui c’est complexe. Disons que jiheyon n’avait jamais connus la réciprocité, soit elle aimait et on ne l’aimait pas soit c’était l’inverse. Cela expliquerait donc qu’elle ne songe même plus à se mettre en relation sérieuse avec un homme privilégiant quelques plaisirs privatifs et non sérieux. Pourtant il serait faux de dire qu’elle ne désirait pas avoir un petit ami, mais depuis quelque temps elle enchainait un peu trop les échecs à son goûts. Elle était sortis avec jae hyuk récemment, bien sur l’attrait physique avait beaucoup joué des deux côtés si ce n’est pas la seule chose qui avait joué. « trop banale, sans caractère, trop molle, lassante, ennuyeuse. » Tant de défauts qui lui avaient été reprochés. Bizarrement cela ne la touchait plus autant qu’avant, peut-être parce qu’elle avait l’habitude que l’on ne s’intéresse que superficiellement à elle. Après tout, on pouvait facilement la qualifier de fille facile, car c’est-ce qu’elle était. Il faut savoir une chose. A partir du moment où plus personne ne semble vous montrer de quelconque respect, il devient très dur de se respecter soi même du moins du point de vue sexuelle de la chose. Pas qu’elle se comporte en salope de base, non, elle était discrète et n’avait pas tant de plans culs que ça mais elle avait cessée de demander aux hommes ce qu’ils pensaient d’elle avant de coucher avec de toute manière le seul moment où elle ne se sentait pas gêné avec un homme c’était lors de l’acte. En dehors, la jeune femme était relativement timide, du genre à bégayer devant un homme mignon ou à rougir pour un rien. Contradictoire mademoiselle Lim.

La main toujours plaqué contra sa bouche entrouverte, elle cligna des yeux tout en se remémorant le visage du jeune homme. Oui, elle l’avait déjà vu, bien sûr qu’elle l’avait déjà vu. Le riche de la galerie marchande ! Bien que pauvre, jihyeon fréquentait régulièrement les boutiques de luxes, elle en raffolait , aimait visualiser ses prochaines acquisitions, celles qu’elle pourrait se procurer lorsqu’elle publierait son futur livre. Les bijoux était son point faible, surtout les bagues. Preuve d’élégance et de classe. Toute la beauté d’une femme se résumait dans la bague qu’elle portait au doigt, qu’il s’agisse de diamants, d’émeraudes ou autres pierres précieuses. Le prix de son coup de cœur, environs un demi millions de wons, rien que ça. Hmm, il était réellement nécessaire qu’elle devienne vite célèbre dans le milieu de la littérature, pourquoi pas comme stephen king ? La jeune coréenne avait demandait plusieurs fois à ce que la bague lui soit mise de côté de peur que quelqu’un ne vienne l’acheter avant elle, mais bien sur on le lui avait refuser n’ayant aucune preuve qu’elle vienne un jour l’acheter. A son plus grand malheur, un jeune homme était venus et l’avait acheter juste sous son nez, après avoir entendus la jeune femme supplier de nouveau la vendeuse. Aucun doute, il l’avait probablement fait exprès. Néanmoins la colère avait été rapidement remplacé par la curiosité. Si il y avait bien quelque chose qui fascinait la coréenne, c’était les personnes riches, qu’importe leurs sexes, leurs âges ou même leurs nationalités. Cela avait le don de l’inspirer dans ses écrits et même si cela n’expliquait en rien sa réaction, la jeune femme l’avait suivis. Tout d’abord dans la bijouterie, puis dans le centre commerciale pour enfin descendre discrètement dans le souterrain. Elle avait voulus examiner ses moindres faits et gestes, voir comme se comportait un riche. Autant dire qu’elle paraissait ridicule, et avait tout juste eu le temps de partir en courant lorsque le jeune homme s’était enfin retourné, se rendant compte qu’il était suivis.

Grognant légèrement, elle secoua frénétiquement la tête dans tout les sens, tout en avançant vers son sac. «  Eh !  » Jihyeon eut juste le temps de tourner la tête vers son interlocuteur dans un réflexe tout à fait banal, qu’elle le vit perdre l’équilibre se rapprochant dangereusement d’elle. Le choc fut moins désagréable qu’elle ne s’y était attendus lorsque sentant la collision s’approchait inévitablement, elle avait fermé les yeux. La main du jeune homme sous sa nuque avait probablement amortis le choc de la tête de la jeune femme contre le sol. Un petit rire se fit entendre et c’est tout en ouvrant délicatement les yeux qu’elle remarqua dans quelle position était tombé l’étudiant. La tête sur sa poitrine, de quoi le réceptionner confortablement. « Généralement, ma nudité ne fait pas peur aux demoiselles. Aurais-tu eu peur de la bête ? » L’asiatique avait remonter son visage au niveau de celui de la coréenne frôlant par la même occasion le bout de son nez tout en murmurant ces paroles. Elle déglutissait difficilement, son regard plongé dans le sien tandis que ses mains positionnés le long de son corps se refermé sur sa propre serviette. Pourquoi dans des moments aussi embarrassant fallait-il que ces sens se réveillent ? Le parfum du jeune homme venant caresser son odorat avec délicatesse, la sensation de ce corps viril contre le sien et la vue de ce visage aux traits fins et raffinés. Clignant des yeux, la jeune femme eut tout juste le temps de reporter son attention sur ce que lui disait l’étudiant. «  Tu es en serviette, je suis nu. Je suis un garçon. D’après toi, est-ce que …  » Trop d’information d’un coup. Nu ? Est-ce qu’il quoi ?  «  … je compte te faire quelque chose ? » Elle frissonna tout d’abord légèrement tandis que les pommettes de ses joues prenaient une couleur rose. Cette situation était trop embarrassante, sans compter qu’elle se trouvait dans les vestiaires des hommes. Quiconque rentrerait ici, se ferait des idées et si la secte venait à en parler, elle serait vite la risée de l’université. «  j-je-je … d-dois me lever.  »

Repoussant le jeune homme, elle se releva difficilement, tentant de regarder ailleurs, son regard ne cessant de revenir inlassablement sur le torse de l’inconnu. Dans un espoir futile, de ne plus avoir à regarder ce corps fort attrayant, jihyeon tandis subitement sa serviette à l’étudiant. «  couvres toi c’est gênant. » Passant une main dans ses cheveux , il ne lui fallut pas longtemps pour faire le rapprochement entre le fait qu’elle avait une serviette et lui était nu, et ce qu’elle venait de faire en lui offrant la dite « serviette ». Ses yeux se baissant sur son propre corps, elle étouffa un léger cris de surprise, en détaillant ce corps nue qu’était le sien. « mon dieu ! » D’un bond, elle se plaqua contre l’homme qui lui faisait face, la serviette séparant inutilement leur deux corps. Réflexe encore et toujours, n’était-ce pas le meilleur moyen de lui éviter la vue de son corps ? Surement, enfin maintenant il pouvait le sentir parfaitement. Relevant la tête vers celui-ci, expirant et inspirant difficilement elle cligna des yeux tout en murmurant quelques paroles quasi inaudibles. « ça devient de plus en plus gênant, je t’en pris ferme les yeux et ne bouge plus. »
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MessageSujet: Re: i'm like a lawyer with the way i'm always trying to get you off • yangtyler   i'm like a lawyer with the way i'm always trying to get you off • yangtyler Empty

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